Le printemps arrive à Beijing

Une rue dans l'Université QingHua (清华大学) enneigée vers mi-mars, les rues de l'Université déversent toujours des colonnes de vélos à des vitesses suparluminiques comme 10 km.h-1.

Coursier est un métier que l'on croise au détour de chaque rue (avec vendeur de lücha, garde inutile et travailleur migrant). Les cargaisons et moyens de transports sont de toutes les couleurs possibles !

L'ultimate est bien représenté mais fait encore pâle figure face au cerf-volant que l'on trouve partout et à toute altitude (même si on constate une bonne répartition au niveau des arbres).

Des chinois, qui faute d'habiter dans le pays le plus romantique du monde, profitent d'une après-midi dans un des jardins de Qinghua. A noter, concernant le pays le plus romantique du monde, que pour les chinoises avec qui j'ai discuté la fleur la plus romantique en France est la Lavande ?!?!?! En tout cas l'industrie du produit de beauté et de la photo de Tour Eiffel a encore de beaux jours devant elle.

De nombreuses photographies de locaux parmi les arbres en fleur.

Je ne parie pas trop cher de l'avenir de ce lapin nain qui a dû passer son enfance dans une charette de marchand à la sauvette. Les activités dans le parc à l'intérieur de notre quartier sont nombreuses (ping-pong, danse, tambourin, balançoires, ateliers de muscu) et les habitants s'y atèlent avec zèle (nous aussi).

Les épiceries comme celles là sont nombreuses dans le quartier et offrent même des radis aux bons clients (moi par exemple).

Les vendeurs d'ananas étaient déjà légion, mais avec le printemps les vendeurs de noix de coco à boire ont fait surface !

Le marché de nuit est toujours  animé, il y a des "restaus" de pâtes, de jiaozi, de brochettes, de viande vraiment cuite. Les tables sont installées le long de la route pour plus de cachet.

Les brochettes sont peintes et cuisent.